Objectif Sérénité

Sur le sentier du bien-être

Soyez les Bienvenus !

Je dédie ce site à tous ceux qui vivent mal leur existence, dont les causes peuvent être nombreuses.

Sachez que j’ai passé moi-même des années de ma vie dans le malheur et l’inquiétude permanente qu’elle soit professionnelle ou privée, pressentant bien que je ne pouvais continuer ainsi, jusqu’à me demander à quoi pouvait servir ma présence sur terre, bref à qui ou en quoi je pouvais être utile, attitude qui m’a plongé dans le désespoir et l’incapacité de me remettre en question : cela me semblait être au dessus de mes forces.

Cet état d’insatisfaction permanente, dans mon cas, a duré plus de vingt ans avant qu’un déclic ne se fasse au plus profond de moi, point de départ de ma remise en question.

Ce déclic, pour moi, s’est produit alors que je trainais dans un bistrot, fortement alcoolisé, en passant devant un miroir.

Je n’ai pas reconnu l’image que me renvoyait ce miroir. Il ne pouvait s’agir de moi. C’était inconcevable.

J’ai fait demi-tour, et me suis regardé à nouveau : la même image apparut !

D’un côté, il y avait le sentiment anesthésié de qui j’étais ; mais l’image me racontait tout autre chose : un être avili, le fantôme de moi-même, un être dégradé en qui je ne me reconnaissais pas.

Le choc a été très violent. D’une violence telle, que cela a ébranlé en moi toutes les pseudo-certitudes qui dictaient mon quotidien. Je me suis rendu compte que je courais à ma perte, qu’il fallait choisir entre la vie et la mort. Et que ce soit l’un ou l’autre, je devrais en assumer les conséquences, seul, car à ce stade, personne ne peut aider.

Changer drastiquement de vie ou continuer dans le déni.

J’ai opté pour la vie.

Mobilisant toutes mes forces encore existantes et restaurant le peu de volonté qui n’avait pas encore été détruit, je me suis attaqué à mon premier défi, sans me préoccuper de ce qu’il adviendrait ensuite : arrêter de me réfugier dans la boisson, ayant accepté pour la première fois qu’il s’agissait là d’un faux confort, d’une pure illusion de vie qui ne mène qu’à la déchéance totale.

Arrêter, c’est bien, mais continuer à arrêter c’est beaucoup mieux. Car souvent on croit pouvoir impunément boire un verre sans rechuter : c’est faux.

On croit aussi, après une période d’abstinence variable selon chacun, pouvoir contrôler sa consommation sans pour autant retomber dans l’excès : c’est faux.

Il s’agit d’excuses que l’on cherche, la réalité étant que c’est le premier verre que l’on boit qui cause la retombée en « enfer ».

Au moment où j’écris ces lignes, cela fait plus de vingt ans que j’ai renoncé à la boisson.

Pourquoi alors tant d’autres -me direz-vous- boivent sans que cela devienne une assuétude ?

Tout simplement parce qu’une partie d’entre nous est prédisposé à l’alcoolisme ; si vous êtes allergiques à un aliment, allez-vous malgré tout continuer à en consommer ?

Mal vivre, loin de la sérénité, est le résultat d’une multiplicité de causes

... l’alcool n’en était qu’un exemple parmi d’autres.

Il faut accepter, quelque soit la cause de son mal être, de reconnaître ce qui est mauvais pour soi et s’en débarrasser.

Les deux conditions essentielles pour avancer, le véritable fil rouge de tout ce qui est l’essence même d’une remise en question, c’est ACCEPTER (admettre, reconnaître) et restaurer la VOLONTE (sans faille, de tous les instants) d’aller de l’avant.

(Pour plus de détails, rendez-vous sur la page 'le sentier')

Guérir les blessures du passé, gérer les angoisses du futur, et vivre le moment présent, constituent les seules balises qui conduisent à une vie plus sereine.

Il existe de multiples outils qui facilitent cette guérison, non encore reconnus par la science traditionnelle, car cette dernière à la fâcheuse tendance à réfuter sans analyse un savoir qui était connu depuis l’aube de l’humanité, visant à (r)établir un équilibre efficace entre l’intelligence du "savoir" et celle de "l’émotion".

S’occuper du savoir, de l’action, du mental limite la connaissance de l’être humain dans sa globalité, et, à l’allure où la qualité de vie des humains se détériore, il faudrait d’urgence étudier en profondeur l’intelligence émotionnelle et le fragile équilibre qui existe entre les deux.

Aller de l’avant sur le chemin de la sérénité consiste à réaligner ce "moi pensant" sur le « moi ressentant », afin que ces deux pôles s’harmonisent, retrouve un dialogue permanent, condition sine qua non pour vivre sereinement.

A chacun de trouver l’outil qui lui convient le mieux.

Renseignez-vous sans tabous sur les méthodes qui existent et n’hésitez pas à tester ces dernières afin de découvrir celle qui est la vôtre.

Le Reiki

Me concernant, le Reiki a été une révélation.

Une page de ce site a été consacrée au Reiki, auquel j’ai été formé par le Centre Belge du Reiki.

Une formation longue, emplie de remises en question, éclairée par de nouvelles pratiques de vie, m’amenant ainsi à avoir suivi le cycle complet de sa formation (lire plus sur le cycle complet des initiations au Reiki).

Sans le Reiki, je ne serais pas capable de vous exposer mon chemin vers la sérénité.

Mais restez attentifs dans vos choix, et préférez le soin d’un praticien où, dès le premier contact, vous éprouvez un bon "feeling", une confiance réciproque, qui est le le garant d’un soin Reiki qui vous apporte la plénitude dans un rapport humain empli d’harmonie et de compréhension, car une bonne communication entre le praticien et vous est essentielle à la transmission des bienfaits de cette "énergie de vie".